1 janvier 2006
Bien que je me sois couché assez tôt ce matin, je me réveille quand même à 8h. C'est triste, mais c'est ainsi. Il y a un chien dans le jardin. Il a dû rentrer ce matin quand Ab. est parti et maintenant, il ne sait plus sortir du jardin. De toute façon, il a un collier alors il appartient à quelqu'un. Ce qui est étrange, c'est qu'il semble me considérer comme son maître parce qu'il me suit.
Je pars en direction de Charles de Gaulle. P. m'a dit qu'il y avait une chapelle par là-bas. Le chien me suit. Et non, pas de chapelle. Le chien entre dans une propriété. Effectivement, s'il entre comme ça, il doit bien rester coincé de temps en temps comme à la maison. J'en profite pour filer et rentrer à la maison. De toute façon, je ressens le contrecoup de mon réveil matinal : j'ai un beau coup de barre de milieu de matinée. Donc je sommeille un peu.
A 12h, E. revient chercher les affaires qu'il a laissées hier soir. Le chien est de nouveau dans le jardin. Je me demande vraiment comment il fait pour entrer. Il doit attendre devant la porte et des personnes qui passent lui ouvrent. Enfin, il a l'air gentil et pas agressif, donc ce n'est pas trop grave. Mais il a dû discuter avec le chat hier et il sait qu'ici,on donne à manger. Par contre, je ne veux pas qu'il entre dans la maison. Alors, il s'installe sur la terrasse, sous la table et attend là toute la journée.
19h, Ab. arrive à la maison. Je sors pour lui demander s'il connaît ce chien. Comme il est souvent dehors, il doit savoir de quelle maison il vient. Oui, il le connaît : le chien a habité la maison. Je sais qu'il y avait un chien ici avant mais comme L., le précédent locataire, était allergique, ils l'ont donné. Serait-ce lui ? Ab. semble me dire que non, que c'est plus ancien. Mais il n'est pas sûr de lui, d'ailleurs, il ne sait plus le nom du chien. Mais qu'importe, de toute façon, il est certain que c'est le chien de la maison. Voilà pourquoi il reste dans le jardin. Je demanderai demain à Is. des renseignements complémentaires.